Prendre un café au bord de l'escaut

C’est sur les anciens lieux de chargement et de débarquement des bateaux, là où jusque dans les années cinquante des matières premières étaient transportées par funiculaire vers l’usine d’engrais, qu’Ivan Van Puyvelde, le propriétaire, propose de
savoureux repas et une bonne tasse de café à un public très divers. Pour toutes ses préparations au lait, Den Amandus utilise Lattiz depuis 2018.

Que pouvez-vous nous dire de beau sur Den Amandus ?

« Bien, c’est un vaste restaurant qui compte au total plus de 120 places. Le midi et le soir, nous servons environ 150 couverts. Vous pouvez facilement vous imaginer ce que cela signifie aussi comme nombre de commandes de cafés. Ces derniers mois, nous y avons prêté une attention particulière. Ainsi, nous travaillons avec des fournisseurs qui réfléchissent avec nous à la façon dont nous pouvons nous distinguer. »

Pouvez-vous nous en donner un exemple ?

« Au cours de l’été dernier, qui semblait vouloir perdurer, nos lattes glacés étaient énormément prisés. Pour les concocter, nous mettons d’abord du sirop de noisettes, de spéculos ou de caramel dans le verre, nous ajoutons des glaçons, puis du lait Lattiz, et pour finir, une dose d’expresso. Ces boissons rafraichissantes ont remporté un véritable succès. D’une part bien sûr, parce que nous avons une grande terrasse au bord de l’eau, mais aussi grâce à notre carte spéciale FrieslandCampina, qui incite les clients à commander plus de cafés spéciaux qu’autrefois. »

Pour Den Amandus, quel est le plus grand avantage de Lattiz ?

« Lattiz est rapide et donne une mousse parfaite et consistante pour les cappuccinos et les lattes. Maintenant, tous les employés préparent le café désiré de la même façon. Avant d’utiliser Lattiz, pour faire mousser le lait, nous nous servions de notre machine à espresso Faema Teorema 2 groupes. Mais trop souvent, il arrivait que le lait était trop chaud ou justement pas assez. C’était dommage bien sûr, car les clients reviennent volontiers pour une bonne tasse. »

Lattiz vous fait-il faire des économies ?

« Je ne peux vraiment pas encore partager les chiffres avec vous, mais le fait est que la machine travaille avec une grande précision. Ainsi, on gaspille moins de lait que lorsqu’on fait mousser le lait de façon traditionnelle. Maintenant, on n’a plus les boîtes de lait qui s’amassaient autour de la machine, ni les pichets à manipuler. Il suffit juste d’appuyer sur un bouton et on a tout de suite la quantité de mousse désirée pour un cappuccino ou un latte. Vraiment, même un étudiant sans expérience peut y arriver. »

Donc, tout le personnel est satisfait de Lattiz ?

« Oui, vraiment. Tant notre personnel habituel que les aides sont très satisfaits de cette machine. C’est d’ailleurs logique. Lattiz est rapide, facile d’entretien et très hygiénique avec son système bag-in-box, grâce auquel il n’est presque pas nécessaire de nettoyer la machine. Et il suffit d’expliquer une seule fois le fonctionnement. »

Combien de kilos de café utilisez-vous chaque semaine ?

« Au cours d’une bonne journée de huit heures, on sert facilement entre 300 et 350 cafés et on mout bien 8 kilos. Il est donc important d’avoir une machine fiable qui ne fait pas de ratés. On ne veut pas que les clients attendent leur café. C’est pourquoi
Lattiz est si simple : lorsque l’emballage est vide, on utilise la fonction de rinçage pour nettoyer l’appareil, on place une nouvelle boîte et tout est prêt pour 140 nouvelles tasses. »

Et enfin, quels sont vos cafés les plus servis ?

« Le café le plus commandé reste le lungo, c’est-à-dire un café “normal” comme disent la plupart de nos clients. Eventuellement décaféiné. Il arrive parfois qu’un public, souvent plus âgé, commande un soi-disant “cappuccino belge”, un café avec de la chantilly. Mais les vrais cafés au lait - cappuccino, latte et latte macchiato – représentent un tiers des recettes des cafés. Pour toutes les préparations, nous travaillons avec des mélanges Campione-expresso du torréfacteur anversois Rombouts. »